Textul de mai jos face referință la un sondaj al cărui caracter manipulatoriu devine evident dacă citim cu atenție întrebarea. Participanții au fost întrebați: „Imaginați-vă o situație în care mâine începe [cine începe??? nota DC.] un război cu o țară vecină și fiul, fratele, sotul sau alta ruda apropiată a primit citație la biroul de recrutare. Ce l-ați sfătui să faca?” Se omite din întrebare "amănuntul " tratat ca nesimnifcativ al definirii agresorului. Cine începe războiul, cine atacă? Rusia sau țara vecină? În realitate, este mai mult decât probabil că respondenții aveau în cap ideea uneie agresiuni externe și nu cazul în care Rusia ar ataca. Deci era desigur vorba la respondenți de un război de apărare a patriei, la care răspunsul patriotic nu poate fi decât cel dat. Mergem sau îi trimitem pe cei care sunt capabili să se bată la război fiindcă e natural să răspundem așa la o agresiune. Țara în care nimeni nu vrea să meargă la război dacă este agresată, e o țară pierdută. Iar fii dacă nu vor muri, vor deveni sclavi. Exagerez foarte puțin.
Ar fi interesant de aflat de cine a fost înființat și de cine e finanțat acest Centru de sondaj a opiniei publice. iată ce se poate afla pe Internet. A se confrunta cu versiunile în engleză
Dan Culcer
Wikipedia. VTsIOM est le Centre Panrusse d'étude de l'opinion publique, créé en 1987.
En 1969 pendant un cours, Iouri Levada a affirmé que des chars ne pouvaient pas changer des idéologies, en faisant allusion à l’invasion soviétique en Tchécoslovaquie en août 1968 ; telle conduite de professeur a été considérée comme une faute idéologique, et il a été alors dégradé du titre de professeur. Un autre conflit entre Iouri Levada et l’État s’est formé autour de l’information d’une recherche, qui concluait que peu de gens lisaient des articles trop longs de Pravda (le journal officiel de l’État soviétique). En revanche, des articles écrasant le sociologue ont été publiés. Pendant le temps de Brejnev Levada a été écarté du travail et des recherches sociologiques.
Durant la glasnost, Levada est revenu aux études sociologiques, et en 1987 le Centre pansoviétique d'étude de l'opinion publique (VTsIOM) a été créé, qui après la chute de l’Union soviétique en 1991 a été renommé par Centre Panrusse d'étude de l'opinion publique.
Dans une interviewLevada cite Tatiana Zaslavskaïa (russe : Татьяна Заславская) et Boris Grouchine (russe : Борис Грушин) comme les fondateurs de VTsIOM en 1987. Il affirme qu’il a été invité à les y rejoindre.
Bien que de 1992 à 2003 VTsIOM ne reçoive pas d’argent du budget gouvernemental et assure son financement par des recherches pour le secteur privé, théoriquement l’organisation restait un service d'État.
Ce fait a permis à l’État de nommer en septembre 2003 le nouveau conseil d'administration de VTsIOM, formé de fonctionnaires et qui devait contrôler le travail de VTsIOM. Aucun sociologue de VTsIOM n’est entré dans ce conseil.
Levada a affirmé que le but de ce changement du Kremlinétait de cacher l’opposition publique ascendante contre la Seconde guerre de Tchétchénie pendant la période des élections. (Dans les années précédentes le Kremlin a utilisé les mêmes méthodes pour récupérer des réseaux informationnels NTV, TV-6 et TVS .)
Après ce changement imposé, Iouri Levada et quelques-uns de ses collègues, qui formaient le centre scientifique de VTsIOM, ont démissionné (et de plus, ils ont pris les ressources et l’équipement qu’ils ont utilisé pendant 15 années) pour organiser la nouvelle agence de recherches sur l’opinion publique intitulée la Service Analytique VTsIOM (ou VTsIOM-A). En 2004 VTsIOM-A a été renommé en Centre analytique Levada (Centre Levada).
Le nouveau directeur de VCIOM est Valeri Fiodorov, un politicien sans aucune expérience en sondages d'opinion. Il a formé la nouvelle équipe de VTsIOM, dont la majorité n’est pas connue.
En septembre 2003 pendant sa visite à l'université Columbia aux États-Unis, le président Vladimir Poutine a donné son avis sur le sujet du changement à VtsIOM et l’a supporté. En revanche Levada a déclaré que Poutine a rejeté trois tentatives de le convaincre que son rating était beaucoup moins élevé qu’annoncé.
Ar fi interesant de aflat de cine a fost înființat și de cine e finanțat acest Centru de sondaj a opiniei publice. iată ce se poate afla pe Internet. A se confrunta cu versiunile în engleză
Dan Culcer
Wikipedia. VTsIOM est le Centre Panrusse d'étude de l'opinion publique, créé en 1987.
Sommaire
La création de VTsIOM
Le création et le développement de l’agence étaient liés avec la carrière de son fondateur, Iouri Levada, le premier professeur de sociologieà l'université d'État de Moscou. Pendant le temps de dégel de Khrouchtchev, on a permis à Levada de faire des sondages de l’opinion publique.En 1969 pendant un cours, Iouri Levada a affirmé que des chars ne pouvaient pas changer des idéologies, en faisant allusion à l’invasion soviétique en Tchécoslovaquie en août 1968 ; telle conduite de professeur a été considérée comme une faute idéologique, et il a été alors dégradé du titre de professeur. Un autre conflit entre Iouri Levada et l’État s’est formé autour de l’information d’une recherche, qui concluait que peu de gens lisaient des articles trop longs de Pravda (le journal officiel de l’État soviétique). En revanche, des articles écrasant le sociologue ont été publiés. Pendant le temps de Brejnev Levada a été écarté du travail et des recherches sociologiques.
Durant la glasnost, Levada est revenu aux études sociologiques, et en 1987 le Centre pansoviétique d'étude de l'opinion publique (VTsIOM) a été créé, qui après la chute de l’Union soviétique en 1991 a été renommé par Centre Panrusse d'étude de l'opinion publique.
Dans une interviewLevada cite Tatiana Zaslavskaïa (russe : Татьяна Заславская) et Boris Grouchine (russe : Борис Грушин) comme les fondateurs de VTsIOM en 1987. Il affirme qu’il a été invité à les y rejoindre.
Éclatement et création du Centre Levada
VTsIOM est devenu très respecté par les académiciens et les journalistes tant en Union soviétique qu’à l’Ouest pour son objectivité et professionnalisme.Bien que de 1992 à 2003 VTsIOM ne reçoive pas d’argent du budget gouvernemental et assure son financement par des recherches pour le secteur privé, théoriquement l’organisation restait un service d'État.
Ce fait a permis à l’État de nommer en septembre 2003 le nouveau conseil d'administration de VTsIOM, formé de fonctionnaires et qui devait contrôler le travail de VTsIOM. Aucun sociologue de VTsIOM n’est entré dans ce conseil.
Levada a affirmé que le but de ce changement du Kremlinétait de cacher l’opposition publique ascendante contre la Seconde guerre de Tchétchénie pendant la période des élections. (Dans les années précédentes le Kremlin a utilisé les mêmes méthodes pour récupérer des réseaux informationnels NTV, TV-6 et TVS .)
Après ce changement imposé, Iouri Levada et quelques-uns de ses collègues, qui formaient le centre scientifique de VTsIOM, ont démissionné (et de plus, ils ont pris les ressources et l’équipement qu’ils ont utilisé pendant 15 années) pour organiser la nouvelle agence de recherches sur l’opinion publique intitulée la Service Analytique VTsIOM (ou VTsIOM-A). En 2004 VTsIOM-A a été renommé en Centre analytique Levada (Centre Levada).
Le nouveau directeur de VCIOM est Valeri Fiodorov, un politicien sans aucune expérience en sondages d'opinion. Il a formé la nouvelle équipe de VTsIOM, dont la majorité n’est pas connue.
En septembre 2003 pendant sa visite à l'université Columbia aux États-Unis, le président Vladimir Poutine a donné son avis sur le sujet du changement à VtsIOM et l’a supporté. En revanche Levada a déclaré que Poutine a rejeté trois tentatives de le convaincre que son rating était beaucoup moins élevé qu’annoncé.
VTsIOM aujourd'hui
L’équipe
Environ 70 spécialistes dans des domaines différents, dont la sociologie, le marketing, la science politique, les finances, la psychologie, la statistique etc. travaillent dans le bureau de VTsIOM aujourd’hui à Moscou. Les annexes de VTsIOM sont situées dans tous les 7 Districts Fédéraux de la Russie. Le réseau des enquêteurs compte environ 5 000 personnes.Des recherches
VTsIOM organise des recherches tant au niveau régional que niveau fédéral, et de plus sur le territoire des pays ex-soviétiques et à l’étranger lointain. Les directions des recherches principales sont :- – la politique ;
- – des affaires sociales ;
- – le business.
Méthodologie
VTsIOM emploie un grand nombre de techniques des recherches, par exemple interviews personnelles, groupes focalisés, mystery shopping, etc. VTsIOM effectue hebdomadairement des sondages d’opinion panrusses.Centrul de sondare a opiniei publice din Rusia (VTsIOM) a efectuat noi măsurători ale sentimentului patriotic la rusi și a constatat că două treimi (65%) dintre respondenți sunt gata sa trimita la razboi cu o țară vecină pe fratele, fiul sau alta ruda de sex masculin, iar 56% sunt dispuși să ofere bani statului pentru operațiuni militare.
Participanții au fost întrebați: „Imaginați-vă o situație în care mâine începe un război cu o țară vecină și fiul, fratele, sotul sau alta ruda apropiată a primit citație la biroul de recrutare. Ce l-ați sfătui să faca?”
Raspunsul „il trimit pe front” au dat 49% dintre respondenți (60% dintre bărbați și 39% dintre femei).
Al doilea răspuns cel mai popular a fost: „Plec în armată, dar daca este posibil în unitatile din spatele frontului” (16%, inclusiv 12% dintre bărbați și 20% femei).
Doar 15% si-ar sfătui ruda apropiata să nu meargă la razboi.
De asemenea, participanții au fost rugati să-și imagineze o alta situație: „Mâine începe un război cu o țară vecină și președintele nostru face apel la toți rușii să contribuie financiar cu un sfert din salariu pentru finantarea razboiului. Guvernul promite să întoarcă banii după război. Ce ați face în această situație?”.
Majoritatea respondenților au spus ca vor spirjin statul: 39% au fost de acord să cedeze statului un sfert din salariu. Alti 17% sunt dispuși să aloce mai putin de un sfert din venitul lor. Refuza sa finanteze razboiul doar 31% dintre respondenți.
În general, nivelul de patriotism în Rusia rămâne ridicat: sentimentele patriotice sunt împărtășite de 80% dintre respondenți. Alti 18% au spus ca nu se simt patrioți, 2% au fost indeciși. Este de remarcat faptul că „indicele patriotismului” a scazut totusi dupa, de la 72 de puncte în 2014, la 62 de puncte în 2016. Indicele se bazează pe întrebarea: „Spune-mi, te simți ca patriot rus sau nu?” Indicele se măsoară în puncte și poate varia de la -100 până la 100. Cu cât valoarea indicelui este mai mica, cu atat scade nivelul patriotismului, sustin sociologii.
Sondajul a fost realizat între 18-19 iunie pe un esantion de 1.600 de persoane din 130 de localități din Rusia.
Amintim ca, recent, Vladimir Putin a declarat ca patriotismul este ideea națională care ii uneste pe rusi.
Participanții au fost întrebați: „Imaginați-vă o situație în care mâine începe un război cu o țară vecină și fiul, fratele, sotul sau alta ruda apropiată a primit citație la biroul de recrutare. Ce l-ați sfătui să faca?”
Raspunsul „il trimit pe front” au dat 49% dintre respondenți (60% dintre bărbați și 39% dintre femei).
Al doilea răspuns cel mai popular a fost: „Plec în armată, dar daca este posibil în unitatile din spatele frontului” (16%, inclusiv 12% dintre bărbați și 20% femei).
Doar 15% si-ar sfătui ruda apropiata să nu meargă la razboi.
De asemenea, participanții au fost rugati să-și imagineze o alta situație: „Mâine începe un război cu o țară vecină și președintele nostru face apel la toți rușii să contribuie financiar cu un sfert din salariu pentru finantarea razboiului. Guvernul promite să întoarcă banii după război. Ce ați face în această situație?”.
Majoritatea respondenților au spus ca vor spirjin statul: 39% au fost de acord să cedeze statului un sfert din salariu. Alti 17% sunt dispuși să aloce mai putin de un sfert din venitul lor. Refuza sa finanteze razboiul doar 31% dintre respondenți.
În general, nivelul de patriotism în Rusia rămâne ridicat: sentimentele patriotice sunt împărtășite de 80% dintre respondenți. Alti 18% au spus ca nu se simt patrioți, 2% au fost indeciși. Este de remarcat faptul că „indicele patriotismului” a scazut totusi dupa, de la 72 de puncte în 2014, la 62 de puncte în 2016. Indicele se bazează pe întrebarea: „Spune-mi, te simți ca patriot rus sau nu?” Indicele se măsoară în puncte și poate varia de la -100 până la 100. Cu cât valoarea indicelui este mai mica, cu atat scade nivelul patriotismului, sustin sociologii.
Sondajul a fost realizat între 18-19 iunie pe un esantion de 1.600 de persoane din 130 de localități din Rusia.
Amintim ca, recent, Vladimir Putin a declarat ca patriotismul este ideea națională care ii uneste pe rusi.
Alte note.